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CONCLUSION :
L’objet de ce travail est de résumer le minimum de connaissance indispensable à la compréhension de la matière. De même que la connaissance des règles régissant le mouvement des pièces du jeu d’échec ne suffit pas pour gagner une partie, la connaissance des principaux mécanismes du divorce ne permet pas à elle seule de dominer le jeu judiciaire. Mais il n’en demeure pas moins que leur méconnaissance peut aboutir à de graves déconvenues, et risque au moins de créer des malentendus entre les justiciables et leurs interlocuteurs obligés (avocats et juges). L’avocat pourra d’autant mieux exprimer le point de vue de son client que celui-ci sera conscient de l’enjeu des débats judiciaire, et de leur contenu. Par ailleurs, la prolifération récente de conseillers conjugaux, médiateurs et psychologues s’occupant du divorce, souvent dans la méconnaissance des règles du droit applicable, ne fait qu’augmenter le danger d’erreur. Or, les erreurs juridiques ont des conséquences pratiques parfois définitives, lorsqu’elles se transforment en erreurs judiciaires, très difficiles à corriger. Pour tenter de les éviter n’hésitez pas à me faire connaître les questions que cette lecture a provoquées chez vous, en m’adressant un e-mail ou en visitant mon site Internet à l’adresse ci-après : http://perso.infonie.fr/jc.henin/ Ce texte est à jour au 30 mai 2000, ses mises à jour peuvent être obtenues sur mon site.
Jean-Camille HENIN, Avocat à la Cour.
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